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DES IDEES POUR AIDER LE MONDE A ATTEINDRE LES OMD Printable Version PRINTABLE VERSION
by Desire--Clitand, Gabon Jul 18, 2005
Poverty   Opinions

  

2) Quelles solutions concrètes proposez-vous pour construire un monde plus sûr pour les autres et pour vous-même ?


Les relations internationales sont tissées sur la base des liens de force. Ces liens ou tentions induisent indubitablement d’une part des complexes d’infériorité, et d’autre part des complexes de supériorité .Déjà, il apparaît dans ce cas des aigris à perpétuité qui ruminent à jamais leur colère avec en prime l’idée de révoltes et d’attentats. Le cas patent est celui des Israéliens face aux Palestiniens

Le problème est que les premiers, soutenus par la main invisible des Américains agissent par complexe. Pour un Israélien tué, de nombreux Palestiniens vont succomber pour satisfaire la vengeance de Tshaal. La réplique est simplement violente par le fait que les Palestiniens seront incapables de riposter du fait de la faiblesse de leur armée.


A / Changement de mentalité

Cette illustration nous permet de voir qu’il n’y a qu’un changement de mentalité qui pourrait conduire à l’harmonisation de notre existence. En effet, il doit se faire à partir d’une relecture de la notion de l’altérité. Qui suis-je ? Qui sont les autres ? Que représentent-ils pour moi ? En formulant des réponses objectives à ces interrogations, on se rendra très vite à l’évidence que sans famille, ni voisin, ni ami…, la vie est impossible. Il faut absolument la présence des autres pour que nous validions notre existence. Mais, la validation dont nous faisons cas ici ne doit aucunement être fondée sur un complexe. Il faut absolument accepter l’autre tel qu’il est, avec sa diversité. Seulement, on peut envisager de lui parler en ami pour lui faire mention de ses défauts. Ce qui n’est d’ailleurs pas le cas aujourd’hui dans la mesure où les Grandes Puissances utilisent toujours le verbe à l’impératif pour s’adresser aux autres peuples du monde .

A partir de ce sus-mentionné, on peut également envisager une autre solution :
L’Homme qu’il faut à la place qu’il faut
Nous constatons en effet que les hommes chargés de résoudre les problèmes des peuples de la planète ne sont généralement pas les bons. Il leur manque soit de l’expérience, soit de la diplomatie, soit même la maîtrise du problème posé. A ce niveau, nous scindons cette partie en deux. L’un traitant du Nord et l’autre traitant du Sud.

Pour ce qui se rapporte au Sud, nous proposons que les hommes qui assurent les fonctions devant régentées la vie des citoyens soient, chacun en ce qui le concerne, capable effectivement de maîtriser les contours des difficultés qui s’opposent à lui. Les collaborateurs et Autres doivent également être à même de tenir un discours valable sur les problèmes de leur secteur d’activité. Pour cela, une formation adéquate est nécessaire. En Afrique particulièrement, il n’y a pratiquement pas d’hommes qu’il faut à la place qu’il faut. A la base, se situe le problème de l’inadéquation de la formation. A lui se joignent ceux de du copinage, du clientélisme, du tribalisme, de la corruption, de l’égoïsme,…qui font que les hommes chargés de faire fonctionner la vie d’un pays soient eux-mêmes des problèmes. Par conséquence, le changement de mentalité reste l’arme la plus efficace pour parer aux problèmes. Car si nous arrivons à comprendre que la compétence et l’efficacité sont mille fois meilleures que les tares telles le tribalisme et autres, les choses peuvent évoluer et favoriser l’avènement d’une planète sûr pour tous. Il faut miser sur les compétences et non sur la fraternité

Pour le Nord, le problème est tout autre. Comment peut-on envoyer un faucon surveiller un nid de poussins ? Ici, c’est la question d’inadéquation qui se pose et non celui de formation. Les hommes irascibles et va-t-en-guerre sont trop souvent mis en branle dans le nord. Ils sont sollicités pour résoudre les problèmes. Or, leur caractère belliqueux fait d’eux des hommes à problèmes. Nous sommes sans ignorer que ce sont les hommes magnanimes, flexibles, diplomates et consensuels qu’il faut pour régulariser les problèmes. Cependant, la diplomatie canonnière est très vite brandie dans le Nord sous prétexte qu’ils sont maîtres du monde. L’exemple de la guerre Etats-Unis d’Amérique contre l’Irak en est une parfaite illustration.
Ce point que nous développions ci-haut est le nœud des problèmes de l’humanité. Tel que nous l’avons démontré, si nous parvenons à opérer des changements au niveau du mental, c’est- à-dire notre comportement vis-à-vis des autres, notre façon de les appréhender, nous pouvons dès lors l’appliquer à tous les secteurs de la vie. De là, nous proposons des solutions sur le plan social, économique, politique et écologique.

B/ Plan social







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Writer Profile
Desire--Clitand


Je suis étudiant en 4ième année de littératures africaines à l'Université Omar Bongo de Libreville, au Gabon. Je fais partie du bureau élu des Jeunes Volontaires Francophones du Gabon (JVF-Gabon) où j'occupe les fonctions de chargé des projets et des programmes. Le site web est: www.jvfgabon.org . Je suis par la même occasion vice–président du CRELAF (Cercle de réflexion des étudiants en littératures africaines et francophones) www.crelaf.tigblog.org/. Structure de l’Université, précisément du département des Littératures Africaines. A travers ce canal, nous avons pour dessein de vulgariser la littérature africaine et francophone, mais aussi de montrer tout le potentiel esthétique qui est le leur. Potentiel bien évidemment illustrer par les œuvres d’AHMADOU KOUROUMA ou de Sony LABOU TANSI par exemple.
Toutefois, mon plus grand souhait et souci est de faire quelque chose pour sortir le continent africain de la misère et des drames qui l'assaillent depuis des décennies. C’est pour cette raison en effet que j’aime beaucoup écrire pour traduire ce que je ressens, c’est-a-dire mes passions, mes envies et pour sublimer mes besoins, mes haines, mes peines, mes désespoirs, mais aussi pour donner mes idées à ceux qui en ont besoin, ou pour égayer simplement des personnes en détresse. Dans le quotidien je suis grand lecteur d’Ahmadou KOUROUMA, de Sony LABOU TANSY et de STHENDAL. Ce sont trois auteurs dont l’œuvre est une symphonie me rappelant sans cesse le devoir de droiture et le respect total d’autrui. Mon aventure avec la littérature commence au cours moyen où je fus champion des affabulations. J’écrivais tellement des rédactions drôles et attrayantes, ce qui me valait d’être copier par les absents qui s’en inspiraient pour produire leurs propres textes. Cela m’a poussé à aimer la littérature et l’écriture, à me sentir intéressant. C’est pourquoi je suis en train de terminer la rédaction d’un recueil de nouvelles. Mais ce qui me bloquera ce n’est qu’un éditeur. Car je suis encore sous les tropiques où tout est politisé et subjectif.
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