TIGed

Switch headers Switch to TIGweb.org

Are you an TIG Member?
Click here to switch to TIGweb.org

HomeHomeExpress YourselfPanoramaDES IDEES POUR AIDER LE MONDE A ATTEINDRE LES OMD
Panorama
a TakingITGlobal online publication
Search



(Advanced Search)

Panorama Home
Issue Archive
Current Issue
Next Issue
Featured Writer
TIG Magazine
Writings
Opinion
Interview
Short Story
Poetry
Experiences
My Content
Edit
Submit
Guidelines
DES IDEES POUR AIDER LE MONDE A ATTEINDRE LES OMD Printable Version PRINTABLE VERSION
by Desire--Clitand, Gabon Jul 18, 2005
Poverty   Opinions

  


Ø Interdiction de vente d’armes

Pour tous les pays dans lesquels la famine, la malnutrition, les maladies tropicales telles le paludisme, la poliomyélite, …sont encore des lots quotidiens, pour tous les pays n’ayant pas opéré une démarcation totale avec la barbarie, où les meurtres sont perpétrées à volonté, la vente d’armes doit être totalement prohiber. De la sorte, l’argent qui devrait être alloué à ces armes pourra s’utiliser pour produire des cadres propices pour l’éradication de ces maux. Aujourd’hui, l’achat d’armes est un secteur bien prisé des politiciens. Cependant, c’est un frein absolu au développement. Puisque ces armes servent à faire la guerre. Comme ce fut les cas de l’Angola, de le Thétchénie, du Libéria,…


Ø Participation des pays producteurs de matières premières à la fixation des cours sur le marché international.

Comment comprendre en effet qu’une tasse de thé coûte plus chère qu’un kilogramme de café brut? Le principe devrait permettre aux pays producteurs de matières premières et aux pays fournisseurs de technologie de transformation de se mettre d’accord sur un juste milieu pour les coûts des produits bruts, et les prix des produits finis. Il faut en cela un collège dans lequel les décideurs doivent être considérés de la même façon avec la prise en compte totale des valeurs et des apports de chaque pays. Car si le sud ne procurait pas de matières premières, le Nord ne serait pas aussi

Immensément riche. Si les hommes parvenaient à s’entendre à ce niveau, on verrait un rééquilibre de la balance économique mondial et les pays du Sud ne seraient plus à la remorque de ceux du Nord. Ainsi, les barrières douanières doivent être de même nature pour tous les pays sans distinction de taille ni de poids économique. Par cette méthode, on verra que les chances de réussite et de construction d’un environnement meilleurs sont équitables pour tous. En effet, il ne saurerait de toute évidence avoir de privilégiés dans les échanges. Comment comprendre que de toute leur vie, les producteurs de cacao de Côte d’Ivoire ou du Cameroun ne puissent goûter à une plaquette de chocolat ? les barrières et les coûts des produits finis les rendent simplement inaccessibles.

Ø Délocalisation des nouvelles technologies vers le sud.
Les produits manufacturés se feront à moindre coût avec cette délocalisation des nouvelles technologies vers le Sud. Mais aussi, ce sera l’occasion pour les pays du Sud de cohabiter avec les hautes technologies qui ont permis depuis quelques décennies de réduire les problèmes de santé en accroissant les potentialités dans les soins. Hormis ce susmentionné, on peut aussi voir les avancées dans la conservation des données qui permet de mieux contrôler les évolutions de notre monde. Par ailleurs, la proximité et le coût permettront aux peuples de jouir des bienfaits de ces progrès par exemple dans l’agriculture, comme dans bien d’autres domaines. La délocalisation passe impérativement par les gouvernements qui doivent obligatoirement faciliter ce transfert de savoirs et de connaissances en ajustant leurs réglementations en faveur de la libre circulation des biens et des personnes.

En outre, une autre proposition de solution est que les mêmes lois du commerce soient appliquées dans tous les pays. Puisque des disparités et des dysharmonies entraîneraient inéluctablement un déséquilibre des valeurs pour lesquelles nous nous battons.



E/ Plan écologique

Compte tenu du fait qu’un monde sûr passe indubitablement par la stabilité de l’écosystème, les hommes doivent en permanence trouver des solutions pour lutter contre sa destruction.
Ø Planter des arbres

En accordant une primauté à la sauvegarde de la nature, les hommes de la planète devront par exemple planter des arbres partout où c’est nécessaire afin de réduire les déchets toxiques susceptibles de détruire la couche d’ozone. Wangari Matai en est une figure illustratrice de cette donne. Nous avons vu qu’il est possible de freiner l’avancé du désert. Cependant, il reste aux hommes de mettre en place des politiques adéquates afin que l’eau, la principale source de vie puisse être acheminée vers ces régions désertiques où le bois est en majorité coupé pour le chauffage et constitue une perte dans la sauvegarde de l’écosystème.

Ø Réduire la fabrication des objets non dégradables

Les progrès technologiques font en sorte que les produits fabriqués résistent au temps et au métabolisme de la nature. Ces déchets, jetés à même le sol, résistent et contribuent à la dégradation de l’espace dans lequel nous vivons, en entraînant un corollaire de problèmes sur la santé des êtres humains. Le rôle des gouvernements étant de contrôler et de faire des lois pour réduire ces excès, il devrait y avoir des lois et des mesures de répréhension pour canaliser la production des produits tels les polyester, les éponges, le caoutchouc…qui ne sont pas biodégradables à long terme. Cette proposition est faite dans la mesure où les côtes gabonaises sont jonchées des détritus de toutes natures, sales et non dégradables pour la plupart.







Tags

You must be logged in to add tags.

Writer Profile
Desire--Clitand


Je suis étudiant en 4ième année de littératures africaines à l'Université Omar Bongo de Libreville, au Gabon. Je fais partie du bureau élu des Jeunes Volontaires Francophones du Gabon (JVF-Gabon) où j'occupe les fonctions de chargé des projets et des programmes. Le site web est: www.jvfgabon.org . Je suis par la même occasion vice–président du CRELAF (Cercle de réflexion des étudiants en littératures africaines et francophones) www.crelaf.tigblog.org/. Structure de l’Université, précisément du département des Littératures Africaines. A travers ce canal, nous avons pour dessein de vulgariser la littérature africaine et francophone, mais aussi de montrer tout le potentiel esthétique qui est le leur. Potentiel bien évidemment illustrer par les œuvres d’AHMADOU KOUROUMA ou de Sony LABOU TANSI par exemple.
Toutefois, mon plus grand souhait et souci est de faire quelque chose pour sortir le continent africain de la misère et des drames qui l'assaillent depuis des décennies. C’est pour cette raison en effet que j’aime beaucoup écrire pour traduire ce que je ressens, c’est-a-dire mes passions, mes envies et pour sublimer mes besoins, mes haines, mes peines, mes désespoirs, mais aussi pour donner mes idées à ceux qui en ont besoin, ou pour égayer simplement des personnes en détresse. Dans le quotidien je suis grand lecteur d’Ahmadou KOUROUMA, de Sony LABOU TANSY et de STHENDAL. Ce sont trois auteurs dont l’œuvre est une symphonie me rappelant sans cesse le devoir de droiture et le respect total d’autrui. Mon aventure avec la littérature commence au cours moyen où je fus champion des affabulations. J’écrivais tellement des rédactions drôles et attrayantes, ce qui me valait d’être copier par les absents qui s’en inspiraient pour produire leurs propres textes. Cela m’a poussé à aimer la littérature et l’écriture, à me sentir intéressant. C’est pourquoi je suis en train de terminer la rédaction d’un recueil de nouvelles. Mais ce qui me bloquera ce n’est qu’un éditeur. Car je suis encore sous les tropiques où tout est politisé et subjectif.
Comments
You must be a TakingITGlobal member to post a comment. Sign up for free or login.