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En novembre 2005, la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la prolifération des armes légères dont le trafic représente un marché de plusieurs milliards de dollars pour les trafiquants est rentrée en vigueur. Ces instruments, qui vont des armes de poing aux systèmes portables de missiles anti-aériens, font chaque année plus de victimes que les bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki réunis.
L'entré en vigueur de cette convention n'a pas pu arrêter les conflits qui continuent de faire des milliers de morts de part le monde.
En effet dans notre socièté, les armes peuvent être légitiment utilisées mais leur usage doit être strictement contrôlé. Les états ont le droit de recouirir aux armes pour préserver la vie, la liberté et l'intégrité physique de leurs ressortissants contre toute attaque militaire extérieure ou toute attaque imminente au cours des opérations internes visant à faire respectter la loi. Il découle que les armes peuvent jouer un rôle important dans le maintien et l'établissement de la paix.
COUT DE L'UTILISATION DES ARMES
On estime que chaque année plus de 500 000 civils meurent à la suite de l’utilisation abusive d’armes conventionnelles soit une personne par minute !
La grande disponibilité des armes tend à accroître le nombre de cas de violences armées, à prolonger les guerres une fois que celles-ci ont été déclarées, à perpétuer des violations graves et généralisées des droits humains. Dans certains cas, l’augmentation des livraisons d’armes est un catalyseur de conflit.
Par ailleurs, les pauvres on plus de risque que les riches d’être victimes de crimes violents. La circulation des armes permet en outre la violation des droits civils et politiques car ces derniers sont utilisées pour toucher l’intégrité physique et mentale des victimes.
Les actes de tortures, les violences sexuelles ne sont pas en reste, sans oublier l’impact psychologique, les contraintes de fuite, les disparitions, les menaces sur la scolarisation et les services de santé.
POURQUOI EST-IL TEMPS D’ARGIR
La guerre contre la terreur à modifié de façon radicale les politiques de certains gouvernements. Plus d’armes sont exporté sans vérifier l’état du respect du droit humanitaire et de droits humain des pays acheteurs. Par ailleurs, des quantités encore plus importantes d’armes sont livrées à des états avec qui les pays exportateurs ont forgés une alliance uniquement basée sur la base de l’existence d’un ennemi commun.
Les pertes civiles s’accroissent de manière aigue et les armes modernes semblent exacerber cette tendance. Posséder une arme devient de plus en plus répandu avec des effets dévastateurs dans de nombreuses sociétés.
Les livraisons d’arme deviennent de plus en plus difficile à contrôler.
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Eric
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