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La violence règne partout dans le monde . Il semble presque impossible de circonscrire la violence tant les formes de manifestations en sont varriées . Ainsi , le monde universitaire n'est pas en reste .
L' université restant toujours le domaine universel des connaissances malgré ce qui se vit dans cet univers .
En effet , les universités d'Afrique ,en général et celles du Gabon en particulier , ne sont pas en reste des manifestations de violences , tant sur le plan physique , morale qu' intellectuel.
La violence s'exprime clairement dans le milieu universitaire du Gabon . Elle va de la brimade entre étudiants eux - mêmes , en passant par des grêves, pour des multiples revendications jamais satisfaites et, à la violence qui ne dit pas son nom, relevant des compétences intellectuellles .
De fait , les nouveaux bacheliers subissent la violence sous toutes ses formes . En effet , s'incrire en première année à "l' USTM" en tant que nouveau, communement appelé " bleu" , est une vraie pénitence .
La violence physique s'exprime à son pplus haut dégré . Si on s'en tient aux commentaires de ceux qui ont visité l'USTM ;ON PEUT DIRE SANS RISQUE DE SE TROMPER que cette violence est inhumaine . " Faire l'amour avec une fille que tu n'as jamais connu , en présence des anciens appelés " casiques"; dormir dans d'un lit trempé d'eau , nager dans la boue , revoir sa valise parfois après un mois, est bien une situation alarmente . CETTE situation laisse parfois , les autorités compétentes impuissantes . PARCE QUE à leur entendre dire ", tout le monde est passé par -là ". D'aucuns pensent que c'est une formation , une formation quand on risque sa vie si, on ne se soumet pas , ou un accident .
Un accident cela ne manque pas ; une situation connue au restaurant universitaire de" l'UOB " , où un nouveau ( bleu ) s'est vu son bras cassé , parce qu'il voulait juste manger.
En ce qui concerne LES MOUVEMENTS DE GREVES, très violents , ils se terminent le plus souvent par des blessés grâves . Les étudiants manifestent la plupart du temps leur colère envers les civils .
Toutefois , sur le plan intellectuel , c'est -une vraie confession de foi,la réussitte ne reste plus le simple fait du travail . Elle engendre plusieurs parametres.
La violence dans le milieu universitaire est donc un fait majeur qui s'exprime et se vit au quotidien .
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ayatebe ename dimitri
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