N’est qu’une partie de l’iceberg qui
Nous amène à idéaliser le matérialisme
Vivre pour vivre, ivre de désir la mort
Nous oblige à revoir nos aspirations terrestres
Car au bout de nos peines, elle nous hôte la saveur
De nos délices, à peine inscrites dans les marges de nos réussites
Vivre pour vivre, ivre de désir la vie ou la mort
Un choix, une voie, notre voix, et si le choix s’opérait
Je crois que le deuil sera parsemé de fleurs d’éternité
Et si la vie était la mort que peut être donc la mort
Un repos après les nobles besognes, une tragique blessure indélébile
Un dépassement du point de mire de tout ce qui est, ou de tout ce qui n’est pas.
« return.